Dix raisons d’être optimiste sur le COVID-19 que Big Brother vous dissimule Publié par Bernard Martoia le 26 août 2021

Préambule : le COVID revenant constamment dans l’Actualité en tête des nouvelles importantes, Dreuz ne peut pas éviter de couvrir le sujet. Concernant les informations, Dreuz affiche sa neutralité et ne publie que celles provenant de sources fiables et réputées. A l’inverse, les articles d’opinion reflètent le point de vue des auteurs de Dreuz et non celui de la rédaction.
Après dix-huit mois de pandémie, il est temps de faire le point.
Par Thomas T. Siler, docteur en médecine pour American Thinker
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Nous avons appris beaucoup de choses positives que les médias et nos responsables de la pandémie rapportent rarement. Plus fondamentalement, nous n’avons plus à avoir peur du COVID-19. Les médias et certaines autorités sanitaires gouvernementales poussent encore à l’hystérie et à la peur, mais cela ne doit pas prévaloir.
Examinons les bonnes nouvelles qui peuvent apaiser nos craintes concernant le COVID-19. Nous aurons le temps, ultérieurement, de nous pencher sur les aspects négatifs et négatifs de la pandémie en cours de résolution.
1 – Au niveau mondial, le taux de survie au COVID-19 est de 99,8 %

Pour les personnes de moins de 70 ans, le taux de survie au COVID-19 est de 99,97 %. Ce taux est comparable à celui de nombreuses saisons grippales.
Les Américains de moins de 70 ans n’ont pas plus à craindre le COVID-19 que la grippe et nous savons comment protéger les personnes âgées.

2 – L’immunité de troupeau est établie
67% de la population américaine a été vaccinée au moins une fois contre le COVID-19. Le nombre officiel de cas est d’environ 10 % de la population, mais plusieurs études sur les anticorps montrent que le pourcentage de ceux qui ont une immunité naturelle est 4 à 6 fois plus élevé. Le Dr Marty Makary, professeur à Johns Hopkins, estime que 80 à 85 % de la population est immunisée par l’immunité naturelle et la vaccination.
Ceux qui nient ce fait doivent expliquer comment les cas et les décès ont commencé à diminuer en janvier, bien avant qu’il y ait un effort significatif de vaccination.


Le COVID-19 ne disparaîtra pas. Au contraire, nous passons maintenant d’un statut pandémique à un statut endémique. Certains virologues éminents affirment que la vaccination en pleine pandémie rend l’immunité collective plus difficile à obtenir par la création de variants.
3 – L’âge moyen du décès dû au COVID est de 78 ans
L’espérance de vie moyenne en Amérique est de 78 ans. Cela ne veut pas dire : « Ne vous inquiétez pas, seules les personnes âgées meurent du COVID-19 ». Cependant, ce fait devrait orienter et informer nos politiques pour protéger les personnes âgées en particulier. Les enfants et les personnes de moins de 70 ans courent un risque beaucoup plus faible.

4 – Un traitement ambulatoire précoce devrait être adopté immédiatement pour le COVID-19.
L’hydroxychloroquine est efficace. L’ivermectine est efficace. Il a été estimé que 85% des décès dus au COVID-19 auraient pu être évités si ces médicaments avaient été utilisés à un stade précoce. America’s Frontline Doctors a une excellente compilation de données. Le coût de ces traitements est de 1 $ par jour. Un nouveau traitement REGEN-COV, a été approuvé pour une utilisation précoce. N’attendez pas de voir si vous allez tomber malade. Faites-vous traiter rapidement !
5 – Les enfants sont à l’abri du COVID-19 et ne propagent pas le virus non plus
Une étude menée au Royaume-Uni a montré que le taux de survie chez les enfants est de 99,99 %. Aux États-Unis, 335 enfants sont morts depuis le début de la pandémie. Une étude réalisée par Johns Hopkins et FAIR Health a montré que tous les enfants décédés entre avril 2020 et août 2020 avaient des problèmes immunitaires ou étaient atteints de maladies chroniques. Pendant cette période, aucun enfant en bonne santé n’est mort. Les enfants ont infiniment plus de chances de mourir d’un accident de voiture, d’une overdose de médicament ou de la grippe que du COVID-19. La vaccination des enfants en bonne santé n’est pas nécessaire.
6 – La Suède n’a ni confiné ni rendu obligatoire le port du masque mais elle s’en est mieux sortie que de nombreux pays.


Le confinement n’a pas fonctionné et il a eu de graves effets secondaires culturels et économiques. Il existe maintenant une abondante littérature qui montre que les masques, tels que nous les utilisons, ne fonctionnent pas.
7 – Les personnes qui ont été infectées par le COVID-19 ont une immunité robuste et durable
Cette immunité est également susceptible de protéger contre les variants. Comme les preuves continuent de s’accumuler que les nouveaux vaccins à messager ARN ne sont ni aussi efficaces ni aussi sûrs que ce qui est annoncé, je vous conseillerais de ne pas vous faire vacciner si vous avez été infecté par le COVID-19.
8 – Il n’y a que très peu, voire pas du tout, de propagation du COVID-19 à partir de personnes asymptomatiques
Ce mensonge a été diffusé très tôt pour maximiser la peur de ce nouveau virus. Le COVID-19 est comme les autres infections virales respiratoires. On l’attrape en côtoyant une personne qui présente des symptômes. Comme pour les autres infections virales, si vous êtes malade, restez chez vous, mettez-vous en quarantaine et soignez-vous. Il n’est pas nécessaire de mettre en quarantaine les personnes en bonne santé asymptomatique.
9 – Le taux de mortalité au niveau national pour le COVID-19 est en baisse depuis janvier

Les journalistes à bout de souffle parlent des cas, de l’occupation des hôpitaux et de la contagiosité, mais ils ne mentionnent jamais la baisse des décès. Il y a eu une petite augmentation des décès dans certaines régions au cours de la semaine dernière, mais sans commune mesure avec l’hiver dernier. Il y aura quelques variations dans le taux de mortalité lors de la transition vers le statut endémique.
10 – Le variant indien/Delta se comporte comme un variant typique d’un virus
Les variants se produisent tout le temps. Ils sont plus contagieux mais moins mortels. Les premiers rapports montrent que c’est probablement le cas du Delta. Un rapport britannique indique qu’il est probablement vingt fois moins mortel que la souche alpha. Les médias mentionnent constamment qu’il est plus contagieux, ce qui est également vrai. Les variants grecs à venir seront susceptibles de se comporter de la même manière. Nous n’avons plus besoin d’avoir peur du COVID-19. Commençons à mettre fin à l’hystérie et à la peur. Le pire est passé car nous sommes en train de passer au statut endémique, ce qui signifie un faible niveau de cas et de décès.
Mesures à prendre dès à présent
Nous aurons beaucoup moins de décès si nous commençons à traiter l’infection dès maintenant avec les traitements ambulatoires disponibles. Nous devons résister à toute nouvelle tentative de confinement et de port de masque car aucune de ces mesures n’a fonctionné.
Nous savons exactement qui il faut protéger : les personnes âgées et celles qui ont des problèmes de santé chronique. C’est là que nous devons concentrer nos efforts.
Heureusement, les enfants courent très peu de risques et ils n’ont pas besoin de masques à l’école ou de vaccins.
Des variants apparaîtront mais ils ne nous replongeront pas dans la situation de l’an dernier.
Nos gestionnaires de la pandémie peuvent-ils prendre certaines de ces informations utiles et les transformer en politiques de santé publique à partir de maintenant ?
Ou y a-t-il un autre objectif derrière l’hystérie permanente, la peur et la pression constante pour une vaccination à 100 % ? [la grande réinitialisation imposée par les gnomes de Davos] Cela reste à voir. Pour l’instant, célébrons la bonne nouvelle.
===Commentaire du traducteur===

Ce constat lucide fait par un professeur de médecine aux États-Unis est un plébiscite de la méthode adoptée dès le début de la pandémie par notre grand professeur Didier Raoult qui est traité comme un charlatan par les gens médiocres en charge de la santé en France. « Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des gens médiocres. » Albert Einstein.
Il est scandaleux que le professeur Didier Raoult ait été éliminé de la liste des plus grands spécialistes des maladies infectieuses où il occupait la première place dans ce classement mondial. (1) Cette purge s’inscrit dans la continuité de la gauche mondialiste qui est un copier-coller des sinistres méthodes employées dans l’ex-Union Soviétique. Lisez le pathétique bandeau rouge sur la page d’accueil de ce site pour camoufler cette purge.
Quand la température ne leur plaît pas, les politicards corrompus qui nous gouvernement s’empressent de casser le thermomètre. N’ayez pas peur ! En référence à la harangue du pape Jean-Paul II sur la place Saint-Pierre le 22 octobre 1978.
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