Par Kari Rohde | 30 mars 2017 | Preuve |
ISIS Démolition du sanctuaire de Jonas révèle le palais du roi biblique.
( Traduction Google – texte complet en anglais à la fin de l’article avec + de photos.)
Les restes de la tombe du Prophète Jonas, détruits par des militants de l’État islamique, à Mossoul, en Irak. (REUTERS / Azad Lashkari)
Après ces choses et ces actes de fidélité, Senaquerib, roi d’Assyrie, est venu envahir Judah et campé contre les villes fortifiées, en pensant les gagner pour lui-même. – 2 Chroniques 32: 1 (ESV)
En juillet 2014, les membres d’ISIS ont détruit une tombe à Mosul, en Irak, mais ont révélé quelque chose d’autre dans le processus. La mosquée, qui aurait été le sanctuaire de Jonas, a été fermée aux chrétiens depuis 1902. Mais était utilisé comme sanctuaire musulman. Bien qu’il ne soit pas tout à fait clair pourquoi les militants de l’État islamique ont cherché à détruire la mosquée, il est possible qu’ils l’aient fait dans le cadre du mouvement Salafi. Une tentative de destruction des mosquées où les gens adorent à cause d’une croyance qui rejette le concept d’adoration dans les sanctuaires. Le site est également cru par certains pour tenir le tombeau du prophète Jonah et peut-être un morceau d’Arche de Noé.
Connu pour l’histoire souvent racontée dans les confessions chrétiennes, juives et musulmanes; Jonah a été envoyé à Nineveh par Dieu pour prophétiser au peuple. Refusant et naviguant dans la direction opposée, la mer ne s’est calmé que lorsque les autres marins réticents ont jeté Jonas par-dessus bord comme il l’a demandé. Sauvés par un grand poisson qui l’avalait, Jonas a prié pendant trois jours et toutes les nuits à Dieu, en priant d’abord, puis reconnaissant, et finalement promettant de remplir ce que Dieu exigeait de lui. Dieu a commandé aux poissons de le cracher. (Jonas 1: 1-2: 10)
« Et ne dois-je pas pitié de Ninive, cette grande ville, où il y a plus de 120 000 personnes qui ne connaissent pas leur main droite de leur gauche, et aussi beaucoup de bétail? » – Jonas 4:11 (ESV)
Les restes de la tombe du Prophète Jonah, détruits par des militants de l’État islamique, à Mosul, en Irak … (REUTERS / Azad Lashkari)
Ce mois-ci, après que ISIS a été chassée dans une offensive militaire, sous les ruines de la tombe, les archéologues ont trouvé les restes d’un ancien palais qu’ils croyaient appartenir au roi Sennacherib ou à son successeur Esarhaddon, tous deux mentionnés dans la Bible. Selon les savants, ces rois ont régné de 705 av. J.-C. à 669 av. J.-C. Au cours de leurs règnes, les Babyloniens se sont révoltés contre eux, ce qui a provoqué la destruction de Sennacherib dans leur capitale, que son fils a reconstruit. Certaines de ces campagnes sont enregistrées dans le Livre des rois de la Bible. Sennacherib était le roi assyrien qui a essayé mais n’a pas réussi à conquérir Jérusalem au temps du roi Ézéchias. Nineveh était la capitale de l’Assyrie et aurait été situé à la périphérie de Mossoul moderne. Il est largement admis, et soutenu par des archives archéologiques, que le palais a été partiellement détruit pendant le sac de Nineve en 612 av. J.-C. qui a mené à la fin de l’Empire néo-assyrien.
Alors Senaquerib, roi d’Assyrie, partit et rentra chez lui et vit à Ninive. Et comme il adorait dans la maison de Nisroch, son dieu, Adrammelech et Sharezer, ses fils, l’ont frappé à l’épée et s’est échappé dans le pays d’Ararat. Et Esarhaddon, son fils, régna à sa place. – 2 Rois 19: 36-37 (ESV)
Sur le site du tombeau, les archéologues ont découvert un système de tunnels à l’effondrement. Ils croient que les militants islamistes ont creusé les tunnels pour piller les objets anciens encore laissés dans les ruines du palais. Tous les éléments qui auraient été faciles à réaliser ont été supprimés par les militants. Cependant, il existe encore de grandes structures, des reliefs et des sculptures murales qui seront étudiées. Les archéologues travaillent avec diligence, car ils ont peur que les tunnels puissent s’effondrer.
Layla Salih, chef des antiquités pour la province de Nineveh, dont Mosul est la capitale, se situe à côté des résultats archéologiques. Photographie: Aris Messinis / AFP / Getty Images
Comme l’a déclaré Breaking Israel News, «Les efforts destructeurs ont apporté un certain intérêt aux archéologues. Le site était en grande partie inexploré, et bien que deux efforts précédents d’excavation aient été réalisés, plus récemment dans les années 1950, les archéologues n’ont jamais atteint le palais. « Layla Salih, archéologue irakien supervisant l’équipe, a déclaré: » Les objets ne Les descriptions de match de ce que nous pensions étaient là-bas, donc la destruction de [ISIS] nous a effectivement conduit à une découverte fantastique. »
Salih a poursuivi en disant: «Il y a une grande quantité d’histoire là-bas, et pas seulement des pierres décoratives, c’est l’occasion de cartographier finalement la trésorerie du premier grand empire du monde, de la plus grande réussite».
Sebastian Rey, l’archéologue principal du Programme de gestion du patrimoine d’urgence de l’Irak au British Museum, a déclaré: «Jusqu’à présent, nous n’avons vu que des photographies de mauvaise qualité, mais elles sont extrêmement excitantes.» Les archéologues et les érudits attendent avec impatience de meilleures photos des sculptures et Des artefacts pour une étude plus approfondie, Rey a également déclaré: «Les reliefs sont uniques, ils ont des fonctionnalités que nous n’avons pas vus ailleurs – ils ne sont pas du tout les scènes assidues de chasse et de banquise bien connues telles que nous l’avons dans le musée. « Il était particulièrement excité à propos de la découverte des inscriptions qui ont été trouvées. Les dirigeants assyriens ont aimé enregistrer des comptes descriptifs et détaillés qui incluaient des noms, des dates et des réalisations.
Une troupe irakienne se trouve à côté des découvertes archéologiques à l’intérieur d’un tunnel souterrain à l’est de Mossoul. Photographie: Aris Messinis / AFP / Getty Images
On ignore combien a été pillé lorsque les militants de l’ISIS ont pillé le palais; Il reste encore beaucoup à découvrir ici. La récupération de certains des artefacts est également possible. Il a déjà été rapporté par Layla Salih, que plus de 100 pièces de poterie dans de bonnes conditions qui ont été pillées à partir des tunnels ont été récupérées dans une maison de Mosul.
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ISIS Demolition of Jonah Shrine Reveals Biblical King’s Palace
The remains of the Tomb of Prophet Jonah, destroyed by Islamic State militants, in Mosul, Iraq. (REUTERS/Azad Lashkari)
After these things and these acts of faithfulness, Sennacherib king of Assyria came and invaded Judah and encamped against the fortified cities, thinking to win them for himself. – 2 Chronicles 32:1 (ESV)
In July 2014, members of ISIS destroyed a tomb in Mosul, Iraq, but uncovered something else in the process. The mosque, believed to have been the Shrine of Jonah, has been closed to Christians since 1902. But was being used as a Muslim shrine. While it is not entirely clear why the Islamic State militants sought to destroy the mosque, it is possible that they did so as part of the Salafi movement. An attempt to destroy mosques where people worship because of a belief that rejects the concept of worshipping at shrines. The site is also believed by some to hold the tomb of the prophet Jonah and possibly a piece of Noah’s Ark.
Well known for the often told story in Christian, Jewish and Muslim faiths; Jonah was sent to Nineveh by God to prophesy to the people. Refusing and sailing off in the opposite direction, the sea only calmed when the other reluctant sailors threw Jonah overboard as he instructed. Saved by a great fish swallowing him, Jonah prayed for three days and nights to God – begging at first, then thankful, and finally vowing to fulfill what God required of him. God commanded the fish to spit him out. (Jonah 1:1-2:10)
“And should not I pity Nineveh, that great city, in which there are more than 120,000 persons who do not know their right hand from their left, and also much cattle?” – Jonah 4:11 (ESV)
The remains of the Tomb of Prophet Jonah, destroyed by Islamic State militants, in Mosul, Iraq.. (REUTERS/Azad Lashkari)
This month, after ISIS was driven out in a military offensive, beneath the ruins of the tomb, archaeologists have found the remains of an ancient palace that they believe either belonged to King Sennacherib or his successor Esarhaddon, both mentioned in the Bible. According to scholars, these kings reigned from 705 BC to 669 BC. During their reigns, the Babylonians rebelled against them, which caused Sennacherib to destroy their capital city, which his son rebuilt. Some of these campaigns are recorded in the Bible’s Book of Kings. Sennacherib was the Assyrian king who tried but failed to conquer Jerusalem in the time of King Hezekiah. Nineveh was the capital of Assyria and is thought to have been located on the outskirts of modern Mosul. It is widely believed, and supported by archeological records, that the palace was partially destroyed during the sack of Nineveh in 612 BC that subsequently led to the end of the Neo-Assyrian Empire.
Then Sennacherib king of Assyria departed and went home and lived at Nineveh. And as he was worshiping in the house of Nisroch his god, Adrammelech and Sharezer, his sons, struck him down with the sword and escaped into the land of Ararat. And Esarhaddon his son reigned in his place. – 2 Kings 19:36-37 (ESV)
At the site of the Tomb, archaeologists discovered a system of tunnels verging on collapse. They believe the Islamist militants dug the tunnels to loot the ancient artifacts still left in the palace ruins. All of the items that would have been easy to carry out have been removed by the militants. However, there are still large structures, reliefs and wall carvings that will be studied. Archaeologists are working diligently, as they are afraid the tunnels could collapse.
Layla Salih, head of antiquities for the province of Nineveh, of which Mosul is the capital, stands next to archeological findings. Photograph: Aris Messinis/AFP/Getty Images
As reported in Breaking Israel News, “The destructive efforts did bring some benefit to archaeologists. The site was largely unexplored, and though two previous efforts at excavation were carried out, the most recently in the 1950s, archaeologists had never reached as far as the palace.” Layla Salih, Iraqi archaeologist supervising the team, stated “The objects don’t match descriptions of what we thought was down there, so [ISIS’s] destruction has actually led us to a fantastic find.”
Salih went on to say, “There’s a huge amount of history down there, not just ornamental stones, it is an opportunity to finally map the treasure-house of the world’s first great empire, from the period of its greatest success.”
Sebastian Rey, The lead archaeologist at the Iraq Emergency Heritage Management Programme at the British Museum, expressed, “So far we have only seen poor quality photographs – but they are extremely exciting.” Archaeologists and scholars eagerly await better photographs of the remaining carvings and artifacts for further study, Rey also said that, “The reliefs are unique, they have features which we have not seen anywhere else – they are not at all like the well-known Assyrian hunting and banqueting scenes such as we have in the museum.” He was especially excited about the discovery of inscriptions that have been found. The Assyrian rulers liked to record descriptive and detailed accounts that included names, dates and achievements.
An Iraqi troop stands next to archeological findings inside an underground tunnel in east Mosul. Photograph: Aris Messinis/AFP/Getty Images
While it is unknown how much was looted when the ISIS militants looted the palace; there is still much to discover here. Recovery of some of the artifacts is also possible. It has already been reported by Layla Salih, that more than 100 pieces of pottery in good conditions believed to have been looted from the tunnels have been recovered from a house in Mosul.
Just as last week’s story reminded us, the need to tread lightly on what is known of ancient history was made clear again this month, with this chance find showing that there is much more buried in the rock and sands of biblical lands… more patterns of evidence waiting to be discovered.
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