Accord « bidon » avec l’Iran !

On savait l’accord autorisant « l’accès au nucléaire » à l’Iran, bidon, Vous savez cet accord signé à Vienne dans le même hôtel ou Hitler déclarait l’Anschluss.
Et bien cet accord est non seulement bidon, mais les vérifications seront faites par l’Iran elle même et ils pourront donc se prévenir eux mêmes 28 jours avant !!!
Obama a berné tous le monde et applique admirablement son plan diabolique.

L’Iran, grâce à un arrangement spécial, sera autorisé à utiliser ses propres experts pour inspecter un site utilisé pour développer des armes nucléaires, avec l’accord secret de l’Agence internationale de l’énergie atomique de l’ONU selon un document consulté par l’Associated Press .

Cette révélation va certainement provoquer des critiques américaines et israéliennes sur l’accord iranien conclu en juillet dernier. Les critiques ont notamment souligné le fait que l’accord repose uniquement sur la confiance des Iraniens, ce que les États-Unis ont cependant nié.

L’accord pour inspecter le site de Parchin a été conclu entre l’Agence internationale de l’énergie atomique et l’Iran. Les États-Unis et les cinq autres puissances mondiales qui ont signé l’accord sur le nucléaire iranien ne font pas partie de cet accord, mais ont été informés par l’AIEA et l’ont approuvé dans le cadre de l’accord global.

Sans révéler son contenu, l’administration d’Obama a décrit le document comme n’étant rien de plus qu’un arrangement technique de routine entre l’Iran et l’Agence internationale d’énergie atomique de l’ONU donnant des détails sur l’inspection du site.

Tous les pays membres de l’AIEA doivent donner à l’agence un aperçu de leur programme nucléaire. Certains pays doivent faire plus que donner un compte rendu annuel du nucléaire qu’ils possèdent. Mais les états- comme l’Iran – soupçonnés d’une éventuelle prolifération, sont sous surveillance accrue, qui peut inclure des inspections rigoureuses.

Cet accord, qui demeure « une partie de l’accord iranien » permet à Téhéran d’employer ses propres experts et ses équipements dans la recherche de preuves pour des activités qu’il a toujours nié, comme le fait d’essayer de développer des armes nucléaires.